Signification de la clé de code égarée (avec Raeni Leblanc et Ted Kyle)

Date d'inscription : 22/02/2019

Raeni LeBlanc
&
Ted Kyle

Signification de la clé de code égarée

Aussitôt cette clé de code en main Ted était retourné à l'institut, il lui fallait déchiffrer ce code le plus vite possible pour ensuite se rendre sur les lieux de se rendez-vous. Seulement tout ne se passa pas comme prévu. En effet tout juste rentré de son escapade il tomba sur Charles Xavier qui était semble-t-il au courant de tout. Ted tenta d'abord de mentir, mais Charles était très bien informé. Ted tenta de justifier ses actes, mais Charles n'avait pas l'air d'apprécier non plus. Et ce dernier clôtura la conversation en donnant l'interdiction à Ted de sortir de l'institut jusqu'à nouvel ordre.

Fou de rage Ted partit dans la salle d'entraînement où il lança toutes les balles sur une cible invisible se trouvant à côté de lui. Peut-être que c'était lui qu'il visait dans le fond, furieux envers lui-même… et envers Charles Xavier forcement. Bien sûr que ce qu'il avait fait n'était pas vraiment très juste, mais qu'avait cru Xavier ? Que Ted était un ange ? Et bien il s'était bien trompé. Ted avait passé une majeure partie de sa vie avec des gens peu recommandables pas étonnant qu'il y ait un peu d'eux en lui

Après une heure passée à envoyer les balles à côté de lui Ted les remit grâce à son pouvoir dans la machine, ce fut long et ennuyeux, mais après tout à quoi lui servait ce code s'il ne pouvait rien en faire ?

L'idée de le déchiffrer était cependant trop forte, il monta dans sa chambre s'installa à son bureau et chercha en vint le dernier New York Times paru, seulement celui-ci était introuvable, aussi bien dans ses affaires personnelles que dans celle de ses colocataires.

Il descendit donc à la bibliothèque où il emprunta le dernier New York Times -il était d'ailleurs surpris que la bibliothèque en possède un exemplaire à force de connaître les lieux- il ne se pencha pas plus sur le sujet étant trop occupé par cette affaire.

Le journal et le message en main il se mit aussitôt au travail le résultat fut plutôt… incomplet. Il décida d'aller chercher à boire au distributeur et en revenant il trouva Raeni LeBlanc.

« Euh… salut ! » Commença-t-il avec un signe de la main et en regardant d'un œil si elle n'avait pas touché à rien sur son bureau avant d'enchaîner « Si tu cherches Lissa il est pas là pour le moment »

CODAGE PAR AMIANTE

Date de naissance : 27/12/1992

J'avais moi aussi fait un rapide passage par la case New York aujourd'hui mais contrairement à Ted, ma petite escapade n'avait pas été fructueuse. Tant pis, ce n'est pas comme si je pouvais menacer ce pauvre bonhomme et, en plus, mes fonds étaient limités. Maman avait beau me mettre régulièrement de l'argent sur la carte bancaire que j'avais prise avec moi en partant, je devais faire des économies. C'était donc un peu déçue que j'étais rentrée à l'Institut. Un petit message à Lissa et ma soirée était planifiée. J'allais passer du temps avec mon chaton.

J'arrivais à l'heure convenue mais mon ami n'était pas encore là. Rien de vraiment surprenant à cela, j'avais l'habitude. Pas de trace non plus de ses colocataires. Je m'engouffrais donc dans la chambre tout en jetant par ci par là un regard curieux. Je découvris rapidement quelque chose d'intéressant sur le bureau de Ted et plus particulièrement une note singulière qui me fit taper dans mes mains d'excitation.

Je me décalais en entendant un bruit de pas près de la porte. Est-ce que Lissa était enfin arrivé ? Non. Ce fut Ted qui ouvrit la porte alors que je me tenais debout en plein milieu de la pièce. En règle générale, quand j'attendais Lissa, il me trouvait plutôt confortablement installée dans le lit du métamorphe.

Je répondis à son salut d'un grand sourire enthousiaste.

« Salut Ted ! Tu vas bien ? »

Il avait l'air un peu gêné de me trouver là et sa remarque concernant Lissa pouvait vaguement s’interpréter comme une invitation à ne pas forcément m'éterniser. Pas étonnant vu ce qu'il cachait sur son bureau.

« La ponctualité n'a jamais été son point fort tu sais. Mais je l'aime quand même. »

Enfin, je n'étais pas douée pour tourner autour du pot donc je me lançais carrément, pointant d'un coup de menton son bureau.

« Tu te lances dans le journalisme d'investigation ? »

Un sourcil arqué, j'attendais de voir s'il allait développer sur ce sujet ou botter en touche.

Date d'inscription : 22/02/2019

Raeni LeBlanc
&
Ted Kyle

Signification de la clé de code égarée

Apparemment Raeni n'avait pas pu s'empêcher de fouiller le travail de Ted. Ce qui ne le plaisait pas forcement et il se dépêcha d'ailleurs de l'en informer.

« Tu sais, j'apprécie pas beaucoup qu'on fouille dans mes affaires ! » Lança-t-il sur un ton pas vraiment des plus agréables. « Mais puisque tu en parles ,il lâcha un soupir avant d'ajouter, il s'agit mais quand j'ai essayé de déchiffrer avec les indications du message ça donnait »

Il marqua une pause pour boire un peu, s'asseoir à son bureau et faire signe à Raeni de faire de même.

Il ne connaissait pas énormément Raeni, ils ne s'étaient croisés que lorsqu'elle venait voir Lissa et dans ses cas Ted avait vraiment l'impression de tenir la chandelle -ce qui n'était pas qu'une impression à son avis, mais il n'avait jamais posé la question. Reprenant la conversation il ajouta

« Enfin en réalité je pense donc qu'un événement important va avoir lieu à cet endroit mais… mais…. Pour récupérer cette information j'ai fait des choses qui n'ont pas plu à monsieur le directeur et donc je suis coincé ici jusqu'à nouvel ordre. »

Il marqua une nouvelle pause, les derniers mots prononcé n'avait pas été dit dans le plus grand des calmes, il but une nouvelle gorgée avec de retourner son regard vers Raeni.

« Attend ! Écoute je sais qu'on est pas vraiment de grands amis et tout mais… tu me rendrais vraiment un fier service si… si tu pouvais vérifier ma théorie ! Ah moins que tu en es découverte une autre d'ailleurs ? Franchement… je vais dire qui va forcement me plaire mais… t'es … mon seul espoir. »

Il en revenez vraiment pas de dire cela et ça faisait un peu mal à son estime mais… c'était dans le fond la vérité.

CODAGE PAR AMIANTE

Date de naissance : 27/12/1992

C'est vrai, j'avais un peu regardé mais, on était dans une école et il avait deux colocataires ! S'il avait vraiment envie que personne ne regarde son travail, il n'avait qu'à le ranger ailleurs ! Ou au moins poser quelque chose dessus plutôt que de laisser ça la, à la vue de tous. C'était une véritable incitation à l'indiscrétion. Pas la peine de jouer les offusqués !

« Hé ! C'était en évidence il fallait mieux les cacher si c'était si privé que ça ! »

Je n'aimais pas vraiment me faire envoyer bouler, en particulier quand il était partiellement en tord lui aussi. Je n'allais quand même pas m'excuser d'avoir été curieuse. C'était quand même un monde ! Heureusement, il abandonna bien vite les reproches pour me demander mon aide et j'oubliais dans l'instant mes griefs précédents.

J'avais lu ses notes et j'avais une bonne idée de l'information qu'il fallait tirer du New York Times. N'étant néanmoins pas à l'abri d'une erreur, j'écoutais ce que Ted avait à me dire. Je le laissais s'hydrater, m'installant sur la chaise qu'il me désignait tout en me penchant vers le bureau pour examiner tout ça de plus près. Ca me faisait drôle de me retrouver avec Ted en l'absence de Lissa. Je le connaissais peu. Il était d'un naturel plus calme que mon virevoltant meilleur ami si bien que la présence de Lissa avait tendance à l'éclipser quand je le rejoignais dans sa chambre. Nous n'avions pas de cours en commun, aussi nous retrouver là était un peu étrange.

J'étais d'accord avec lui, à en croire le journal, quelque chose d'important allait avoir lieu à Little Italy. Ma machoire se décrocha légèrement lorsqu'il évoqua avoir fait quelque chose qui avait conduit à son assignation à résidence. Ca devait être énorme car malgré mes petits manquements au règlement, on ne m'avait jamais privé de sortie.

« Wow, pour qu'il en arrive là tu a dû bien énerver Monsieur Xavier. »

C'était un fait, je n'étais pas du genre à camoufler une vérité. Pas vraiment causant, Ted se re-pencha vers sa bouteille avant de m'apostropher, manquant de me faire sursauter. Mais c'est qu'il me demandait un service ! Quel revirement. Un sourire s'étira sur mes lèvres – si j'avais su.

« J'étais arrivée à la même théorie. Pas de problème. J'irais dans ce fameux restaurant. Ça m'intrigue aussi cette histoire. Compte sur moi. »

Je lui adressais un clin d’œil, pas vraiment consciente de tout ce que cette mission allait avoir comme conséquences.

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