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 Meryl - Lookin' for my place in this world

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Meryl Hammond
Meryl Hammond
Féminin Niveau de pouvoir : Niveau 3
Niveau de maîtrise : Niveau 1
Messages : 45
Date d'inscription : 28/02/2019

Meryl - Lookin' for my place in this world  Empty
MessageSujet: Meryl - Lookin' for my place in this world Meryl - Lookin' for my place in this world  EmptyVen 1 Mar - 0:03
M
Meryl Hammond
Ellen Page
Célibataire
Chômage/Etudiante à l'Institut
Elementalists
31 ans
Américaine


I'm a ghost of a girl that I want to be most



Intelligente - Hypersensible - Observatrice - Indélicate - Minutieuse - Anxieuse - Rêveuse


Meet me
Meryl
Pouvoir(s)
Je possède le don de Vitrokinésie, une mutation qui me permet de contrôler, mais pas de générer, le verre. S'il y a une petite quantité de verre, je peux l'étendre, mais pas le créer du néant.  

Je ressens la présence du verre autour de moi comme une vibration, un ronronnement qui me rassure et me met à l'aise, comme si le verre était vivant. Lorsque je suis calme et dans un milieu qui n'agresse pas mes sens délicats, je suis en mesure de me contrôler et de faire appel à mon pouvoir quand elle le souhaite. Ma manipulation se fait délicate, précise, comme un horloger remonterait une montre.

Mais la moindre distraction, aussi faible soit-elle, est suffisante pour me faire perdre ma concentration et mon contrôle. Le bruit trop fort d'une respiration, un coup de vent, une personne qui entre dans la pièce, un contact physique... Et tout risque de partir en vrille.

Dans le meilleur des cas, le verre cesse de m'obéir et redevient inerte, légèrement ronronnant pour moi et moi seule. Mais dans la pire des situations, le verre se fait sauvage, comme doté de sa propre conscience, et il s'envole, se brise, se plante, change de forme jusqu'à épuisement total ou, lorsque je suis en mesure de le faire, quand je retrouve la maîtrise de mes émotions.

En attendant de pouvoir contrôler mon pouvoir, je sors rarement sans un casque anti-bruit et choisis le plus souvent d'éviter le monde extérieur, en particulier lorsque je dois m'y confronter seule. Ce n'est pas le moment de provoquer une catastrophe, alors que l'image des mutants est déjà au plus bas...
Entretien d'admission
Que pensez-vous du contexte politique actuel ?


Mon père travaille pour le président et je suis sa honte personnelle, la tache sur son parcours immaculé. Je suis le grain de sable dans le rouage parfaitement huilé, celle qui aurait pu tout lui faire perdre. Au lieu de cela, il a préféré m'abandonner dans un établissement psychiatrique, durant bien trop d'années.

Quand on travaille dans le gouvernement de Matthew D. Kennedy et qu'on supporte une politique anti-mutant, avoir pour fille un monstre n'est pas vraiment recommandé... Il ne m'a jamais vraiment aimé et cette particularité-là n'a fait qu'empirer les choses. Il représente ce qu'il y a de pire dans l'humanité, comme le président, comme tous ceux qui le soutiennent.

Pendant longtemps, j'ai voulu croire qu'il y avait du bon chez les hommes. Que si je ne trouvais pas ma place, c'était de ma faute. Que je n'essayais pas assez fort. Puis j'ai fini comprendre que, quoi que je fasse, ils ne m'accepteraient jamais. Qu'ils ne parvenaient déjà pas à accepter ceux des leurs qui sortaient un peu du rang, alors pourquoi accueilleraient-ils à bras ouverts une mutante, une créature pareille ?

Les humains me font peur. Certains me dégoûtent. Ceux qui me rabaissaient déjà plus bas que terre avant même que ma mutation ne soit dévoilée. Ceux-là même qui n'acceptent pas la moindre différence, peu importe sa nature. Ils sont effrayants et répugnants. Et ils ne m'accepteront jamais, en tant que mutante ou en tant que personne neurodivergente. Alors, à quoi bon ?

Je préfère rester à l'Institut, avec les miens. Je suis soutenue. Je suis entendue. On ne me déteste pas sans me connaître. Ici, j'ai ma place. Et même si je perds le contrôle, je sais que je serai aidée et non condamnée. Ca fait toute la différence.

Comment avez-vous vécu l'annonce de votre différence ?


Pour tout vous dire, il m'est difficile de me rappeler l'instant exact où l'on est venu me chercher pour m'emmener à l'Institut. J'étais... ailleurs. Assommée par les médicaments. Ils m'ont probablement parlé, mais je n'ai pour souvenir qu'un timbre de voix doux, loin des tons condescendants auxquels j'avais été habituée jusqu'alors. J'étais épuisée, affaiblie, perdue.

J'ai retrouvé la forme à l'Institut, loin du personnel médical, loin des préjugés des humains. Et j'ai accepté ce que je savais depuis longtemps déjà. Que j'étais différente. Que j'étais une mutante. Que j'avais des aptitudes hors du commun qu'il allait falloir m'apprendre à maîtriser. Et, pour la première fois de ma vie, j'avais enfin des gens pour me soutenir, pour m'encourager, pour me supporter.

A près de 30 ans, j'ai eu enfin l'impression de vivre, pour la première fois depuis le début de mon existence.

Comment vivez-vous votre différence aujourd'hui ?


Autrefois, je me haïssais. Je me détestais parce que je ne pouvais pas correspondre à l'idéal de mon père. Parce qu'il avait honte de moi, tout comme ma mère, qui était généralement plus passive.

Je souhaitais plus que tout au monde être banale, semblable à tout le monde. Je voulais être cette petite fille que mon père paraderait avec fierté auprès de ses riches camarades et pas cette sauvageonne qui se cachait sous les tables ou dans les placards en se bouchant les oreilles dès lors qu'il y avait trop de monde dans notre grande demeure.

Ma mutation n'a fait qu'aggraver les choses. Je ne voulais plus entendre le ronronnement du verre. Je ne voulais pas de cette énième particularité, de cette différence qui, du simple mépris, avait poussé mon père à me haïr. Je priais désespérément pour que l'on chasse toute particularité de mon corps, pour que Dieu fasse de moi une "bonne fille".

Aujourd'hui, j'ai compris que je n'avais pas à changer la personne que je suis. Que je n'avais pas à me conformer, de quelque façon que ce soit. Je suis différente et je dois en être fière. Mes particularités, je dois les accepter et les apprivoiser, au lieu de les nier et de les rejeter en bloc. Il n'y a que comme ça que je pourrais avancer.

Ma différence est ma force. Ma fierté. La personne que je suis, tout simplement.


Quel est votre niveau de maîtrise ?


Je n'ai guère de maîtrise de mon pouvoir. Comme je l'expliquais, il me faut un environnement calme, immuable et entièrement sécurisé pour pouvoir déclencher mon pouvoir à volonté et espérer le contrôler.

Le moindre imprévu me fait perdre toute maîtrise. Je n'ai jamais eu l'occasion d'apprendre à me contrôler. Mon père a payé cher pour que je sois envoyée dans un établissement psychiatrique privé et que je sois suffisamment assommée de médicaments pour ne plus avoir même la force de sentir la présence du verre.

J'y ai passé treize années. Treize années dans la brume, treize années dans le néant. Qu'il s'agissse de mes émotions ou de mes pouvoirs, je n'ai jamais eu l'opportunité d'apprendre à les apprivoiser. On m'a retiré tout cela, sans jamais s'inquiéter de moi, pour ne laisser qu'une coquille vide.

On ne se remet pas aussi facilement d'une telle expérience. Je ne suis plus accro aux médicaments, mais ce n'était qu'un petit pas à franchir dans le chemin immense qui s'étend devant moi. A chaque avancée, j'ai l'impression de reculer tout autant, de faire face aux mêmes obstacles, encore et encore.

Mais je n'abandonne pas. Je n'abandonnerai jamais.

Quel est votre niveau de puissance, selon vous ?


J'ai appris à aimer mon don, mais il fut un temps, durant mes premiers mois à l'Institut, où j'ai maintes fois souhaité avoir une mutation plus faible, plus discrète. Un de mes camarades peut changer la couleur de ses yeux, par exemple. Quelque chose d'aussi peu remarquable, d'aussi peu dangereux... C'était enviable.

Le verre est partout : dans les vitres, les miroirs, entourant nos sources de lumières etc. Il vibre, ronronne, me parle, d'une certaine façon, et il est toujours là, prêt à se déchaîner pour me protéger, pour éloigner de moi ce monde qui n'a jamais cessé de m'agresser et de vouloir faire de moi sa victime éternelle.

Je ne peux pas le générer du néant, comme d'autres peuvent le faire de leur élément. Mais je peux l'étendre, le manipuler, changer sa forme, le faire offensif, défensif... Enfin, en théorie. Pour l'instant, je subis surtout sa puissance selon mes sautes d'humeur, mes crises de panique, mes angoisses...

Meryl


I sing myself a quiet lullaby


"Si je vois tes mains se lever, tu sais ce qui va arriver..."

Meryl garda les yeux baissés, tendant se préparer pour ce qui était sur le point de se produire. La petite fille plaqua ses bras contre son corps, plantant ses ongles dans sa chair dans un mouvement nerveux. Ne pas bouger. Ne pas bouger. Ne pas bouger.

Meryl voulait être une gentille petite fille. La fille à son papa. Celle qu'il aimerait de tout son coeur, comme les pères sont censés le faire. Et pour cela, elle ne devait pas bouger. Pas bouger. Pas bouger. Mais toute la bonne volonté du monde ne pouvait pas pour autant accomplir des miracles.

Mr Hammond fit racler une chaise contre le sol, bruyamment, brusquement. Dans un réflexe incontrôlé, Meryl couina et plaqua ses mains sur ses oreilles.  Il lui fallut quelques secondes pour réaliser qu'elle avait échoué. Et que son père était terriblement déçu.

La fillette ne pouvait pas soutenir son regard. Elle ne pouvait que pleurer, pleurer alors qu'il lui annonçait qu'elle devait filer directement dans son lit, sans repas et sans veilleuse pour chasser les ténèbres de la nuit. Une fois encore, elle n'avait pas su être une bonne fille.

Meryl ne se rappelait pas d'un instant où son père n'avait pas fait preuve de cette sévérité à son égard. Où sa mère aurait eu pour elle des mots doux et des attentions délicates, au lieu de cette indifférence teintée de mépris que Meryl lui avait toujours connu. Meryl n'était pas comme les autres enfants. Et elle ne faisait jamais assez d'efforts pour être "normale". C'était de sa faute. Tout était de sa faute.

Elle avait toujours été une petite fille particulière. Elle avait commencé à parler bien plus tard que la plupart des enfants, alors qu'elle allait sur ses cinq ans. Les règles de bienséance les plus évidentes et aisées à acquérir lui passaient au-dessus de la tête et sa maladresse généralisée faisait d'elle une véritable catastrophe.

Meryl était... singulière. Et s'il y avait une chose qui n'était pas la bienvenue dans la famille Hammond, c'était bien la singularité. On ne voulait pas d'une fillette différente, d'une fillette "cassée", comme ils disaient souvent d'elle. Meryl le savait, ses parents attendaient la perfection. Et elle n'était pas en mesure de leur offrir. Elle leur faisait honte. Et elle en avait conscience.

Les choses s'empirèrent encore davantage quand, à la sortie de l'adolescence, Meryl se révéla être encore plus différente qu'ils ne le pensaient.

C'était pourtant une journée comme les autres, une énième mise à l'épreuve de son père, un énième échec de sa part. Mais quelque chose s'était éveillé en Meryl. Quelque chose qui avait crié "stop", qui avait hurlé pour que tout s'arrête. Quelque chose de puissant.

La famille était réunie dans leur grand salon, Mrs Hammond ayant plaqué les mains de sa fille sur la table pour qu'elle cesse de les remuer, son père multipliant les sources de bruit pour que Meryl s'y "habitue" et cesse de faire des caprices, comme il aimait à le répéter encore et encore. Meryl avait crié, crié à s'en arracher la gorge. Et le monde autour d'elle avait explosé.

Une explosion assourdissante, terrifiante. Le son, si agressif, se fit progressivement... doux. Presque amical. Le lustre hors de prix du salon avait volé en éclats, tout comme les vitres. Les bouts de verre s'étaient plantés là où ils avaient pu, évitant soigneusement de blesser l'adolescente. Mrs Hammond avait été la plus gravement touchée, perdant un oeil dans l'affaire.

Mr Hammond ne chercha pas à comprendre ni à guérir. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il ne pouvait pas se permettre d'avoir une fille mutante. Que son image serait définitivement ruinée et sa carrière en politique terminée. Il fallait l'écarter. La dissimuler du reste du monde, le plus vite possible.

Cela ne leur fut guère compliqué : il avait suffi à Mr Hammond de la faire interner pour ses troubles autistiques, prétendant que, dans un accès de violence, Meryl avait volontairement blessé sa mère et représentait un danger pour elle-même et pour les autres. Il avait payé grassement le personnel de l'établissement privé pour garder le secret sur la véritable raison de sa présence et pour qu'elle demeure sous leur contrôle, sa mutation bridée par la lourdeur du traitement qui lui était constamment administré.

Treize années passèrent. Treize années dont Meryl a, finalement, très peu de souvenirs concrets. Tous les jours s'étaient ressemblés, à peu de choses près. Une brume opaque, perturbante, un regard perplexe et confus posé sur un monde qui ne faisait plus de sens. Des mots qui s'entremêlaient et perdaient de leur signification, ne laissant plus qu'un ton condescendant, faussement sympathique. Le vide. Et le verre, qui ronronnait à peine, dont Meryl ne pouvait presque plus sentir la présence.

Dans de rares moments, l'effet des médicaments s'estompait. Et les émotions rejaillissaient, primaires, brutales, emplies de terreur et colère. Avec les émotions, les pouvoirs. Ca ne durait jamais longtemps. Le personnel médical était toujours prêt à la replonger dans sa torpeur habituelle. Un état végétatif, dans lequel elle pensait subsister toute sa vie durant.

Et puis, il y avait eu ce jour, ce jour différent des autres. Ce jour où on était venu la chercher à l'hôpital. Ce jour où elle avait mis le pied dehors, soutenu par des bras qui n'avaient rien de familier, mais auxquels elle ne pouvait que s'accrocher, sans comprendre ce qui lui arrivait. Ce jour où sa vie avait basculé.

Meryl n'aurait su dire combien de temps il lui avait fallu pour sortir de sa torpeur, pour commencer à assimiler un peu mieux le monde qui l'entourait, suffisamment pour comprendre sa situation. Elle avait été recueillie à l'Institut Xavier, où elle serait formée pour apprendre à utiliser son pouvoir, à le contrôler et à ne plus en être l'instrument.

Meryl avait trouvé sa place. Les débuts furent difficiles. Meryl était inadaptée, perturbée, en manque de son traitement qu'elle avait cessé de prendre. Elle passait le plus clair de son temps à l'infirmerie, sous une surveillance bienveillante, mais particulièrement vigilante.

Ses pouvoirs, bridés depuis bien trop longtemps, voulaient se déchaîner, protéger la jeune femme de toute cette nouveauté terriblement angoissante, de la douleur qui lui rongeait l'être, de la peur qui lui dévorait les entrailles. Et puis, ils s'étaient calmés, tout comme elle.

Progressivement, Meryl était sortie de sa fureur et de sa terreur. Ses cris et couinements s'étaient mués en mots, puis en phrases construites. Elle avait pu raconter son histoire, parler de ce qu'elle pensait de tout cela, se confier à des oreilles attentives. Pour la première fois, Meryl s'était sentie écoutée. Mieux, comprise.

Sa nouvelle vie avait alors commencé, un quotidien confortable au sein de l'Institut. Meryl ne posait que rarement le pied en-dehors de ce lieu, par crainte du monde extérieur et ne souhaitant pas que ses pouvoirs incontrôlés puissent attirer l'attention et causer le moindre problème à ses semblables.

Progressivement, Meryl avait commencé à s'accepter, à s'aimer. Elle s'était ouverte aux autres, à sa manière, et avait cherché l'affection, l'amitié, en toute confiance. Ses émotions tumultueuses et sa fragilité rendaient son apprentissage particulièrement difficile, mais Meryl ne renonçait pas. Un jour, elle pourrait contrôler sa mutation. En faire son alliée. Et alors, elle serait fière. Fière d'être mutante, tout autant que d'être neurodivergente.



Dis m'en plus sur toi...
Alors, vous pouvez m'appeler Meryl ( lol! ), j'ai 25 ans et je fais du rp depuis presque dix-sept ans. Je suis fan de X-Men et d'Umbrella Academy (au cas où vous ne l'auriez pas deviné  Arrow), mais plus globalement de tout ce qui touche à la pop culture. Je suis accro aux films et séries en général. Hâte de vous rencontrer et de rp avec vous  Meryl - Lookin' for my place in this world  4027744125  ♥️


Dernière édition par Meryl Hammond le Ven 1 Mar - 0:41, édité 1 fois
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Lissa Pavlov
Lissa Pavlov
Niveau de pouvoir : 2
Niveau de maîtrise : 3
Messages : 81
Date d'inscription : 06/02/2019
Localisation : un peu partout
Emploi/loisirs : Drama queen à plein temps
Humeur : Comme un poisson dans l'eau

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MessageSujet: Re: Meryl - Lookin' for my place in this world Meryl - Lookin' for my place in this world  EmptyVen 1 Mar - 0:11
Bienvenue officilement par ici ! Je te l'ai déjà dit mais ce choix de vava, ce prénom, J-A-D-O-R-E

Hâte d'en lire plus en tout cas et de rp avec toi ! Et ce pouvoir mamaaaaa
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Ethan McMillan
Ethan McMillan
Masculin Niveau de pouvoir : Niveau 3
Niveau de maîtrise : Niveau 4
Messages : 232
Date d'inscription : 27/01/2019
Localisation : Quelque part dans les couloirs
Emploi/loisirs : Professeur de physique-chimie
Humeur : Calme

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MessageSujet: Re: Meryl - Lookin' for my place in this world Meryl - Lookin' for my place in this world  EmptyVen 1 Mar - 0:49
Bienvenuuuuue !

J'ai adoré ta fiche de bout en bout et suis ravie de t'accueillir par ici !!
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Caleb Turner
Caleb Turner
Masculin Niveau de pouvoir : 4
Niveau de maîtrise : 1
Messages : 466
Date d'inscription : 27/01/2019
Humeur : Fatigué

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MessageSujet: Re: Meryl - Lookin' for my place in this world Meryl - Lookin' for my place in this world  EmptyVen 1 Mar - 0:51


TU ES VALIDé
CHAMPAGNE !


Waaaaah, cette fiche vend du rêve. Le pouvoir est génial, j'adore cette idée et ce que tu en as fait, Meryl est un personnage à la fois profond, attachant et haut en couleurs dont on a hâte de découvrir les aventures. Je suis certaine que le côté interactif du forum sera bien mobilisé par cette jolie demoiselle... En tout cas bravo, tu as une très belle écriture et j'ai été portée d'une traite par ton récit ! Sur ce, bienvenue dans le meilleur groupe Meryl - Lookin' for my place in this world  3609347148 (objectivement)

Ton pouvoir est de niveau 3.



Bravo à toi, tu peux maintenant poser tes valises à l'Institut Xavier ! Pour faire connaître ta bouille par le forum, il faudra aller remplir le registre d'appel qui se trouve ! Si tu veux être sûr d'avoir un lit de libre dans ta chambre, on te conseille d'aller te recenser ici. Ah, et tu nous excuseras d'être indiscrets, mais le staff de l'école voudrait que tu notes ton pouvoir par là ! Si tu es membre du personnel, va te présenter au reste de l'établissement ici !

Tu pourras ensuite aller te chercher des copains en remplissant ta fiche de lien ou en allant zieuter celles des autres ! Nous te souhaitons une très bonne arrivée parmi nous, en cas de besoin n'hésite pas !
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MessageSujet: Re: Meryl - Lookin' for my place in this world Meryl - Lookin' for my place in this world  Empty
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